Les premières images de Taquine montée par tous les membres de la famille :
mercredi 16 septembre 2009
vendredi 31 juillet 2009
Le tartare d'algues
Voici une recette que je tiens d'Isabelle la cuisinière de Terre et Humanisme que je vous livre en souvenir de très bon moments passés avec elle, l'équipe et les bénévoles de l'association.
On commence par rassembler tous les ingrédients :
Des algues (fraiches ou séchées)
de l'huile d'olive
du vinaigre balsamique
du shoyu
de la moutarde
un citron
deux petits oignons blancs ou un petit jaune
de une à trois échalottes (suivant leur taille)
des capres
du persil
des herbes de Provence
des cornichons (là je n'en avais pas mais c'est pas grave)
on met dans le mixer les algues (environ 150 g en fraiches) si elles sont sèches, on les mouilles avec un peu d'eau. On ajoute les oignons, les échalottes, les capres (et un ou deux cornichons si on en a), le persil haché (sinon, il reste des fils à la fin), les herbes de Provence.
On mouille avec un trait de vinaigre balsamique, un filet de shoyu, un bon filet d'huile d'olive, le jus du citron et on rajoute une bonne cuillère à café de moutarde.
On laisse tout ça se mixer un bon moment et ...
On commence par rassembler tous les ingrédients :
Des algues (fraiches ou séchées)
de l'huile d'olive
du vinaigre balsamique
du shoyu
de la moutarde
un citron
deux petits oignons blancs ou un petit jaune
de une à trois échalottes (suivant leur taille)
des capres
du persil
des herbes de Provence
des cornichons (là je n'en avais pas mais c'est pas grave)
on met dans le mixer les algues (environ 150 g en fraiches) si elles sont sèches, on les mouilles avec un peu d'eau. On ajoute les oignons, les échalottes, les capres (et un ou deux cornichons si on en a), le persil haché (sinon, il reste des fils à la fin), les herbes de Provence.
On mouille avec un trait de vinaigre balsamique, un filet de shoyu, un bon filet d'huile d'olive, le jus du citron et on rajoute une bonne cuillère à café de moutarde.
On laisse tout ça se mixer un bon moment et ...
on déguste !!!
jeudi 30 juillet 2009
lundi 29 juin 2009
dimanche 15 mars 2009
Premiers jours avec Taquine
jeudi 12 mars 2009
Taquine à la Roncière
Ça y est, Taquine est arrivée !
Après un voyage un peu plus long que prévu.
Mais reprenons du début. Ce matin après avoir déposé les filles à l'école en bétaillère, direction Chassé juste avant Alençon pour un retour à l'élevage de la Haize. Arrivée vers 11h, un petit coucou à Taquine qui toute préparée attend sagement dans son box même séparée de ses copines. Puis un petit tour pour ramener 2 pouliches de l'année dernière qui sont allé s'amuser dans le champ du voisin avant de passer à table (je vous ai déjà dit que chez les Teinturier, on savait recevoir). Les grillades de boeuf sont excellentes et j'ai amené pour l'occasion une tarte au pommes maison dont il faudra que je vous note la recette un de ces jours.
On charge ensuite une succulente boule de foin puis Taquine dans la bétaillère et c'est le départ, non sans promettre de repasser dans quelques semaines avec les filles lorsque tous les poulains seront nés.
Taquine s'agite un peu durant les 10 premières minutes puis se calme, elle est vraiment adorable. Le trajet se passe bien, nous prenons l'autoroute à Chartre et à quelques km du péage de St Arnoux, des trous dans l'accélération me font craindre le pire. Nous sommes finalement obligés de nous arrêter sur la BAU à 3 km du péage, le moteur cale et impossible de repartir !
Après avoir rassuré Taquine (mais elle n'avait pas l'air vraiment stressée même lorsque les poids-lourds faisaient tanguer la bétaillère en passant), je parts en courant vers le péage. Pour tout arranger, mon téléphone venait de tomber en panne de batteries. On m'indique là bas que le dépanneur arrivera dans une bonne demi-heure. Je repart donc en courant à la bétaillère (c'est là qu'on est content de faire un peu de course à pieds dans ses loisirs). Je me hisse sur la boule de foin et je fais la causette à Taquine en attendant la suite. Une manière impromptue de faire plus amplement connaissance.
Le dépanneur arrive, le verdict tombe : panne d'essence et filtre à gazoil bien encrassé. L'arrière de la bétaillère bien chargé à du incliner le réservoir et rendre les indications de la jauge très approximatives, à vide je l'avais entraînée bien plus bas... Je le saurai pour la prochaine fois.
Donc arrivée à La Roncière avec une bonne heure et demi de retard sur les prévisions. Deux messages de la famille Teinturier qui commençait à s'inquiéter. Taquine toujours adorable se laisse entraîner dans son enclos, fait la connaissance des chèvres, ne se laisse pas encore trop approcher, mais après une bonne nuit, elle est tellement à son aise qu'elle s'allonge par terre pour se reposer.
Enfin tout est bien qui finit bien.
À moins que ce ne soit plustôt le début d'une grande aventure...
Après un voyage un peu plus long que prévu.
Mais reprenons du début. Ce matin après avoir déposé les filles à l'école en bétaillère, direction Chassé juste avant Alençon pour un retour à l'élevage de la Haize. Arrivée vers 11h, un petit coucou à Taquine qui toute préparée attend sagement dans son box même séparée de ses copines. Puis un petit tour pour ramener 2 pouliches de l'année dernière qui sont allé s'amuser dans le champ du voisin avant de passer à table (je vous ai déjà dit que chez les Teinturier, on savait recevoir). Les grillades de boeuf sont excellentes et j'ai amené pour l'occasion une tarte au pommes maison dont il faudra que je vous note la recette un de ces jours.
On charge ensuite une succulente boule de foin puis Taquine dans la bétaillère et c'est le départ, non sans promettre de repasser dans quelques semaines avec les filles lorsque tous les poulains seront nés.
Taquine s'agite un peu durant les 10 premières minutes puis se calme, elle est vraiment adorable. Le trajet se passe bien, nous prenons l'autoroute à Chartre et à quelques km du péage de St Arnoux, des trous dans l'accélération me font craindre le pire. Nous sommes finalement obligés de nous arrêter sur la BAU à 3 km du péage, le moteur cale et impossible de repartir !
Après avoir rassuré Taquine (mais elle n'avait pas l'air vraiment stressée même lorsque les poids-lourds faisaient tanguer la bétaillère en passant), je parts en courant vers le péage. Pour tout arranger, mon téléphone venait de tomber en panne de batteries. On m'indique là bas que le dépanneur arrivera dans une bonne demi-heure. Je repart donc en courant à la bétaillère (c'est là qu'on est content de faire un peu de course à pieds dans ses loisirs). Je me hisse sur la boule de foin et je fais la causette à Taquine en attendant la suite. Une manière impromptue de faire plus amplement connaissance.
Le dépanneur arrive, le verdict tombe : panne d'essence et filtre à gazoil bien encrassé. L'arrière de la bétaillère bien chargé à du incliner le réservoir et rendre les indications de la jauge très approximatives, à vide je l'avais entraînée bien plus bas... Je le saurai pour la prochaine fois.
Donc arrivée à La Roncière avec une bonne heure et demi de retard sur les prévisions. Deux messages de la famille Teinturier qui commençait à s'inquiéter. Taquine toujours adorable se laisse entraîner dans son enclos, fait la connaissance des chèvres, ne se laisse pas encore trop approcher, mais après une bonne nuit, elle est tellement à son aise qu'elle s'allonge par terre pour se reposer.
Enfin tout est bien qui finit bien.
À moins que ce ne soit plustôt le début d'une grande aventure...
lundi 9 mars 2009
Visite à l'élevage de la Haize
Une petite visite au stand de la société hippique percheronne lors du salon de l'agriculture nous a permis de rencontrer Guillaume Teinturier dont la jument Rêveuse de la Haize venait de remporter un deuxième prix au concours général agricole. Dès le salon finis, le rendez-vous est vite pris pour aller voir les autres juments et poulinières de l'élevage familial.
Ce samedi, nous partons à 7h30 pour la Sarthe, ma fille Morgane et moi. Nous arrivons vers 10h en plein préparatifs pour la vaccination des vaches. L'accueil est simple, vu les circonstances mais très chaleureux. Nous tâchons de nous rendre utiles puis nous allons voir les poulinières et les pouliches de l'année.
Après un bon repas (poulet de la ferme tué le matin même et mousse au chocolat) nous allons avec toute la famille voir les jeunettes qui pâturent à une 30e de km de là.
Et c'est la rencontre avec Taquine de la Haize qui va bientôt rejoindre notre jardin avant que je ne l'emmène faire ses classes dans la Creuse sous l'oeil attentif et expert de Frédéric Carlier.
Ce samedi, nous partons à 7h30 pour la Sarthe, ma fille Morgane et moi. Nous arrivons vers 10h en plein préparatifs pour la vaccination des vaches. L'accueil est simple, vu les circonstances mais très chaleureux. Nous tâchons de nous rendre utiles puis nous allons voir les poulinières et les pouliches de l'année.
Après un bon repas (poulet de la ferme tué le matin même et mousse au chocolat) nous allons avec toute la famille voir les jeunettes qui pâturent à une 30e de km de là.
Et c'est la rencontre avec Taquine de la Haize qui va bientôt rejoindre notre jardin avant que je ne l'emmène faire ses classes dans la Creuse sous l'oeil attentif et expert de Frédéric Carlier.
vendredi 6 mars 2009
Labours d'hiver dans la Creuse
Impossible de passer par la Creuse sans faire un petit coucou à Lune Olympe et Reine.
Alors quand en plus on passe en période de labours, on en profite avec bonheur. Histoire de vérifier qu'on n'a pas tout oublié, qu'on sait encore se mettre dans cet état d'esprit particulier, de disponibilité à l'instant présent qui permet d'avoir la bonne réaction au bon moment, de donner confiance aux juments et être dans le plaisir partagé de soigner la terre.
Quelques allés-retours de pur bonheur en attendant de pouvoir en faire autant en région parisienne.
Alors quand en plus on passe en période de labours, on en profite avec bonheur. Histoire de vérifier qu'on n'a pas tout oublié, qu'on sait encore se mettre dans cet état d'esprit particulier, de disponibilité à l'instant présent qui permet d'avoir la bonne réaction au bon moment, de donner confiance aux juments et être dans le plaisir partagé de soigner la terre.
Quelques allés-retours de pur bonheur en attendant de pouvoir en faire autant en région parisienne.
jeudi 5 mars 2009
La betaillère
Départ mardi 3 mars au matin pour aller voir une bétaillère à vendre dans la creuse. Après 4h de train et bus, je retrouve Frédéric et Sire (son nouveau Border) à Guéret. Malgré quelques hésitations sur les chemins creusois, nous rallions Chignaroche ou se trouve le véhicule convoité.
Après les vérifications et l'essai routier d'usage, le moteur semble en bien bon état pour son âge (28 ans), l'ensemble paraît sain et nous faisons affaire.
Plus qu'a rentrer non sans avoir dit bonjour aux juments de Frédéric et fait le plein de pommes de terre.
Le trajet du retour sera quelque peu mouvementé (un boulon de la commande d'embrayage a pris du jeu et jusqu'à ce qu'on le resserre, les vitesses passent de plus en plus mal), mais l'arrivée sur la région parisienne grandiose !
lundi 26 janvier 2009
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